Wednesday, February 28, 2007


Le taureau est un mammifère domestique ruminant, généralement porteur de cornes sur le front, appartenant à l'espèce Bos bovis de la famille des Bovidés. C'est le mâle de la vache.
L'espèce, très anciennement domestiquée, a une grande importance économique pour la production de lait (vache), de viande (bœuf, vache, veau, taurillon), de cuir et autres sous-produits, et parfois pour son travail comme animal de trait (bœuf, vache) ainsi que pour la tauromachie.
Le taureau est le mâle de l'espèce, utilisé principalement pour la reproduction, de plus en plus par insémination artificielle dans l'élevage laitier, pour la production de viande (élevage de taurillons) et pour les courses de taureaux. Le mâle castré est le bœuf, la femelle, la vache ou la génisse (jeune vache) et le petit, le veau.
Son appareil digestif, qui se caractérise par la présence de cinq estomacs, permet par la rumination de digérer la cellulose.
Le terme « taureau » vient du latin taurus, lui même emprunté au grec tauros.

Sunday, February 25, 2007




Le chameau (genre Camelus) est un mammifère ruminant à bosses dorsales graisseuses de la famille des camélidés. Sa femelle est dénommée la chamelle.
Le nom du genre (Camelus) vient du latin Camelus provenant lui-même du grec kamélos. Ce terme est lui-même dérivé de la troisième lettre de l'alphabet proto-sinaïtique "gamel" (qui a donné gamma en grec). A l'origine cette lettre représentait une bosse qui en s'inclinant a donné le C de l'alphabet latin.
Le genre camelus comporte deux espèces :
-Camelus bactrianus — chameau à deux bosses ou chameau de Bactriane, qui est d'origine asiatique.
-Camelus dromedarius — dromadaire, qui n'a qu'une seule bosse, et vit dans l'ouest du continent asiatique et en Afrique du Nord. Le terme "chameau" est donc un terme générique incluant aussi bien le chameau à deux bosses que le dromadaire.

Chameau à bosses comme dromadaire ont depuis longtemps été domestiqués, et les deux espèces servent de bêtes de bât pour traverser le désert. L'homme utilise aussi leur laine, leur lait et leur viande. Même leurs excréments sont récupérés pour servir de combustible aux caravaniers.
Selon certains spécialistes, le dromadaire descendrait des espèces bactriennes à deux bosses.L'embryon possède en effet deux bosses et l'adulte présente une bosse antérieure rudimentaire.

Friday, February 23, 2007



Testudines


Les fossiles des Chéloniens les plus anciens date de la fin de Trias. La plus grande diversité des espèces de Testudines date vers la fin du crétacé. Les tortues n'ont que peu évoluées et cette évolution a porté sur la réduction du nombre d'os du crâne.
On a proposé le reptile Eunotosaurus du permien en tant qu'ancêtre aux tortues. Cependant, la présence d'un os d'ectopterygoid dans le crâne et l'agencement des os, des nerf et des vaisseaux sanguins suggèrent que ce genre ne doit pas être celui d'origine. On a ensuite pensé au Captorhinidae (cotylosaurus) mais l'agencement des os du crâne ne correspondait pas non plus. On a aussi proposé les procolophonides et des pareiasaurus. Les propositions les plus récentes reprennent une vieille idée étayée par la recherche moléculaire qui propose que l'ancêtre des tortues ne serait pas des anapsides mais des diapsides ayant perdu leur cloison temporale. Il convient alors de préférer le terme chéloniens pour la sous-classe de cet ordre.
Les fossiles de tortues sont nombreux. Le plus primitif et important est celui du Proganochelys. Cette tortue montre les dispositifs primitifs absents des tortues modernes qui le rendent utile comme repère pour l'étude de l'évolution des tortues (comme une rangé de dents vomériennes et palatines. Aussi ancien que lui, le Proterochersis qui pliait le cou pour renter la tête et dont le bassin est joint à la carapace. Sa présence vers la fin de trias indique que la différentiation Pleurodires-Cryptodires a eu lieu à cette époque. Le cryptodire le plus ancien connu est le Kayentachelys du milieu du Jurassique en Amérique du Nord. Les fossiles de cryptodires marins éteints sont communs dans beaucoup de régions d'Europe et d'Asie. Beaucoup appartiennent à la famille des Plesiochelyidaequi formait le groupe le plus important à du crétacé. Cette famille s'est éteinte peu de temps plus tard.

Monday, February 19, 2007


La République de Mongolie (en mongol Монгол Улс) est un pays d'Asie, enclavé entre la Russie au nord et la Chine au sud. Sa capitale et plus grande ville est Oulan-Bator (Ulaanbaatar), la langue officielle est le khalkha et la monnaie le tugrik.
La Mongolie fut le centre de l’Empire Mongol au XIIIe siècle, elle fut ensuite gouvernée par la dynastie Mandchoue Qing de la fin du XVIIe siècle à 1911, date à laquelle un gouvernement indépendant fut formé avec l’aide de la Russie. Après la fin de la Guerre Froide et la chute du communisme en Mongolie en 1990, le pays adopta une constitution démocratique en 1992.
Son territoire est immense, mais possède très peu de terres arables, le pays étant couvert de steppes arides avec des zones montagneuses au nord et à l’ouest et le désert de Gobi au sud. Près de 30% des 2,8 millions d’habitants sont nomades ou semi-nomades. La religion principale est le bouddhisme tibétain et la majorité des citoyens (80%) sont d’origine mongole, il existe néanmoins des minorités kazakhes et touvans surtout à l’ouest. Près d’un tiers des habitants vivent dans la capitale Oulan-Bator.

Monday, February 12, 2007






Café









Les caféiers sont des arbustes des régions tropicales du genre Coffea de la famille des Rubiacées. Les espèces Coffea arabica (historiquement la plus anciennement cultivée) et Coffea canephora (ou caféier robusta), sont celles qui servent à la préparation de la boisson. D'autres espèces du genre Coffea ont été testées à cette fin ou sont encore localement utilisées, mais n'ont jamais connu de grande diffusion.
Les caféiers sont des arbustes à feuilles persistantes et opposées, qui apprécient généralement un certain ombrage (ce sont à l'origine plutôt des espèces de sous-bois). Ils produisent des fruits charnus, rouges ou violets, rarement jaunes, appelés cerises de café, à deux noyaux contenant chacun un grain de café (la cerise de café est l'exemple d'une drupe polysperme). Lorsqu'on dépulpe une cerise, on trouve le grain de café enfermé dans une coque semi-rigide transparente à l'aspect parcheminé correspondant à la paroi du noyau. Une fois dégagé, le grain de café vert est encore entouré d'une peau argentée adhérente correspondant au tégument de la graine.
Coffea arabica, qui produit un café fin et aromatique, nécessite un climat plus frais que Coffea canephora (robusta), qui donne une boisson riche en caféine. La culture de l'arabica plus délicate et moins productive est donc plutôt réservée à des terres de montagne, alors que celle du robusta s'accommode de terrains de plaine avec des rendements plus élevés.
Le plant mère de la plupart des plants d'arabica du monde est conservé au Hortus Botanicus d'Amsterdam.
Bien qu'il soit techniquement possible de produire des variétés de café génétiquement modifiés, contenant un gène de toxicité aux insectes ou produisant un grain sans caféine, aucune n’est commercialisée, pour l’instant. La seule expérience de plantation en plein champ organisée par le CIRAD en Guyane française a été détruite par des militants anti-OGM.
La principale maladie du café est causée par le champignon Hemileia vastatrix, ou rouille du café, qui donne une coloration caractéristique aux feuilles et empêche la photosynthèse de la plante. En 1869, ce parasite détruit complètement, en l'espace de 10 ans, les plantations du Sri Lanka, autrefois prospères. Depuis, ce parasite est devenu ubiquiste. Il prolifère surtout sur les plants d'arabica. Le robusta semble y être assez résistant.
Les scolytes du café (Stephanoderes hampei) attaquent indifféremment les plants de robusta et d'arabica en détruisant les grains. La menace posée par ces insectes est considérable, d'autant que leur résistance aux insecticides augmente.

Friday, February 09, 2007


Droit

Le droit a été défini comme un « système de règles », comme un « concept d'interprétation pour atteindre la justice », comme « une autorité pour concilier les intérêts des personnes », et comme le commandement d'un souverain, sauvegardé par la menace d'une sanction. C'est également la traduction d'un projet politique. C'est l'ensemble des règles et normes, définies et acceptées par les personnes, afin de régir les rapports sociaux, et garanties, sanctionnées, par l'intervention de la puissance publique, c'est-à-dire de l'État. La sanction attachée à la règle de droit est ce qui distingue cette dernière des autres règles, telles que les règles morales et de politesse. C'est aussi, selon Aristote, ce qui fait que la règle de droit « est meilleure que celle de n'importe quelle individu », car elle a été créé dans l'intérêt général, pour le bien commun.
Les nombreuses façons dont le droit peut être défini reflète en réalité les nombreuses manières que peut utiliser le droit dans la vie de chacun, et dans chaque société, dans chaque culture. L'essentiel des rapports sociaux peut être analysé en obligations juridiques, soient consenties (contrat), soit engageant sa responsabilité. Le fait d'intenter un dommage peut également être pénalisé, et le droit pénal ou criminel peut alors réprimer de tels faits. L'organisation sociale, étatique, administrative, est également construite sur le fondement de règles de droit. Il peut s'agir de la Constitution, c'est-à-dire de l'ensemble des règles suprêmes qui définissent la société, ainsi que ses principes d'organisation. Le droit administratif soumet les organes administratifs à la règle de droit et permet à la fois aux citoyens de contrôler l'action administrative par le moyen d'une juridiction, mais également permet à l'administration de disposer de prérogatives que de simples personnes privées ne pourraient avoir. De façon plus lointaine, le droit international permet également de construire des ponts entre différentes sociétés.
L'étude du droit pose des questions récurrentes, quant à l'égalité, la justice, la sûreté. Anatole France écrit ainsi, en 1894 : « La loi, dans un grand souci d'égalité, interdit aux riches comme aux pauvres de coucher sous les ponts, de mendier dans les rues et de voler du pain. »

Le droit est un phénomène social constant, qui se créé ou se récrée de façon naturelle dès que deux individus sont réunis. La création ou l'élaboration de règles, qui ne soient ni basées sur des considérations morales, ni religieuses, est un phénomène invincible, qui se retrouve dans chaque société, considérée développée ou non. Chaque système juridique élabore des règles juridiques, des droits comme des responsabilités, de différentes manières. La plupart des pays ont un système juridique codifié, dit de « droit civil », dont les règles sont modifiées, plus ou moins régulièrement, par les gouvernements. D'autres utilisent un système dit de « common law », qui se développe à travers la règle du précédent judiciaire. Un petit nombre de pays continue de fonder leurs règles sur les textes religieux. Mais dans chaque pays il existe une riche histoire juridique, avec des philosophies différentes, qui parfois s'affrontent et triomphent. Le droit pose également des questions économiques, mais aussi des questions politiques, afin de faire évoluer les règles de droit à travers des institutions

Tuesday, February 06, 2007

Naresuan


Statue of King Naresuan near Ayutthaya.


A monument of King Naresuan in an elephant duel.

This article is about the Siamese king. For other uses, see Naresuan (disambiguation).
King Naresuan the Great (1555 - April 25, 1605 also sometimes called Naret or the Black Prince, Thai: สมเด็จพระนเรศวรมหาราช) was king of Siam (today Thailand) from 1590 until his death in 1605. During his reign, Siam had the biggest territorial extent in history.
Born in Phitsanulok, Naresuan was taken captive by the Burmese to ensure the fidelity of his father King Maha Thammaracha, who became king of the Ayutthaya kingdom after it was occupied by the Burmese in 1569. After spending nine years of his youth at Pegu under the protection of the Burmese king Bayinnaung (Thai language: Burinnaung, Burengnong) Naresuan was exchanged with his sister Princess Suphan Thewi when he was 16 years old, and became governor of Phitsanulok. He was highly trained by the Burmese king in martial arts, literature, military strategies and was one of the princes in the Burmese Palace.
In 1584, three years after Burmese King Bayinnaung's death in 1581, the tributary relation with Burma was cancelled, which was inevitably followed by a vigorous attack by the Burmese army. Naresuan fought back against the attack, and in 1586 he occupied Lanna, a buffer state between the two kingdoms.
1590 the king died, and Naresuan officially became the leader of the kingdom. In 1591 the Burmese started another attack, which was cancelled when the Burmese crown prince Minchit Sra was killed by Naresuan in personal combat on elephant back in Nong Sarai (Suphanburi). The following year Naresuan himself attacked Tenasserim, as well as Cambodia in 1593.
According to Prince Damrong's Our Wars with the Burmese, Naresuan died in 1605 during another battle with the Burmese, speared by Burmese soldiers as he attempted to climb over a garrison's wall in Tambon Thung Kaew, Mueang Hang. However, recent studies of Burmese records by historians of Silpakorn University showed that he actually returned to Wiang Haeng, where he died of disease, probably smallpox. His brother Ekathotsarot became his successor as king.
According to the Shan, Naresusuan helped them win independence for the Shan State in 1600 with his ally the Prince of Hsenwi. Both had been hostages at the Burmese court, and King Naresuan died while rushing to the aid of a friend of his youth, they say. Many Shan believe Naresuan was cremated and his ashes interred in a stupa in Mongton, in the southern part of the Shan State.
milliseconds timerID = setTimeout("showBanner()", speed) } } function getString() { // set variable to true (it will stay true unless proven otherwise) var full = true // set variable to false if a free space is found in string (a not-displayed char) for (var j = 0; j < state.length; ++j) { // if character at index j of current message has not been placed in displayed string if (state.charAt(j) == 0) full = false } // return true immediately if no space found (avoid infinitive loop later) if (full) return true // search for random until free space found (braoken up via break statement) while (1) { // a random number (between 0 and state.length - 1 == message.length - 1) var num = getRandom(ar[message].length) // if free space found break infinitive loop if (state.charAt(num) == "0") break } // replace the 0 character with 1 character at place found state = state.substring(0, num) + "1" + state.substring(num + 1, state.length) // return false because the string was not full (free space was found) return false } function getRandom(max) { // create instance of current date var now = new Date() // create a random number (good generator) var num = now.getTime() * now.getSeconds() * Math.random() // cut random number to value between 0 and max - 1, inclusive return num % max } startBanner() // -->