Monday, October 22, 2007


L'islam est une religion monothéiste (croyance en un seul Dieu transcendant ; le panthéisme, immanence de Dieu, est considéré comme étant shirk), chronologiquement le troisième grand courant monothéiste de la famille des religions abrahamiques. Apparu en Arabie au VIIe siècle, il se distingue du judaïsme et du christianisme avec lesquels il a néanmoins de nombreux éléments communs. Les fidèles sont appelés musulmans.
L'islam a un livre sacré, le Coran, dont le dogme assure qu'il a recueilli la révélation de Dieu au prophète Mahomet par l'intermédiaire de l'archange Gabriel. Les autres livres sacrés dans l'islam sont, par ordre chronologique, le Suhuf-i-Ibrahim (les Feuillets d'Abraham), la Tawrat (le Pentateuque ou la Torah), le Zabur (le Livre des Psaumes) et le Injil (les Évangiles ou le Nouveau Testament).
Il y a entre 1 et 1,8 milliard de musulmans dans le monde. Ils se répartissent en plusieurs courants, notamment le sunnisme et le chiisme. C’est en Indonésie que vit la communauté musulmane la plus importante au monde
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Monday, October 08, 2007


L'Opéra de Sydney (en anglais : Sydney Opera House) à Sydney (Nouvelle-Galles du Sud, Australie), est l'un des plus célèbres bâtiments du XXe siècle, et un haut-lieu de représentation des arts. Son architecture originale (voilier pour les uns, coquillage pour les autres) a été imaginée par le danois Jørn Utzon.
Situé dans le port de Sydney (l'endroit précis s'appelle Bennelong Point), il est entouré d'un parc boisé au sud et est voisin du Harbour Bridge (célèbre pont de Sydney constitué d'une seule arche). Le paysage qui en résulte est d'ailleurs devenu un symbole de l'Australie, et de Sydney tout particulièrement. L'Opéra est aujourd'hui une attraction touristique majeure de la ville bien que la plupart des visiteurs n'ont pas l'occasion d'assister à une représentation.
Non seulement siège de l'Opéra d'Australie, de la Compagnie de théâtre de Sydney et de l'Orchestre symphonique de Sydney, l'Opéra accueille également beaucoup de productions artistiques étrangères en tournée. Il est administré par le Opera House Trust, structure régie par le Ministère des Arts des Nouvelles-Galles du Sud (New South Wales).

Friday, October 05, 2007


Kiyomizu-dera (or Kiyomizudera, 清水寺) fait référence à un complexe de temples bouddhiques mais est principalement utilisé pour un seul : Otowasan Kiyomizudera (音羽山清水寺) à l'est de Kyōto, qui est l'un des endroits les plus célèbres de la ville. Le temple trouve ses origines en 798 (selon la tradition, il aurait été construit par Sakanoue no Tamuramaro), vers la fin de l'époque Nara, mais les édifices actuels datent de 1633. Le temple tient son nom de la chute d'eau qui se trouve à l'intérieur de son enceinte, eau provenant des collines environnantes - kiyoi mizu (清い水) signifiant eau pure ou eau de source.
Le bâtiment principal du Kyomizu-dera est célèbre pour sa plateforme, soutenue par des centaines de piliers, à flanc de colline et qui donne une vue impressionnante de Kyōto. D'ailleurs, l'expression japonaise « se jeter du Kyomizu-dera » (清水の舞台から飛び降りる, Kiyomizu no butai kara tobioriru?) {{{diac}}} est l'équivalent de l'expression française « se jeter à l'eau ». Cette expression a pour origine une tradition de la période Edo qui prétendait que si une personne survivait à un saut depuis la plateforme du temple, son vœu se réaliserait.

Cela semble réalisable: une importante végétation en contrebas de la plateforme peut amortir le pélerin, bien que la pratique soit maintenant interdite. Durant la période Edo, 234 sauts ont été comptabilisés avec un taux de survie de 85,4 %. Le saut ne fait, en effet, que treize mètres.
En contrebas du bâtiment principal se trouve la chute d'eau Otowa-no-taki, d'où trois canaux plongent dans une mare. Les visiteurs du temple boivent de cette eau dans des coupelles en fer, eau qui aurait des propriétés thérapeutiques. Il est dit que boire de l'eau des trois canaux confére santé, longévité et succès dans les études.
Le complexe contient de nombreux autres temples dont l'un des plus connu est Jishu-jinja, dédié à Okuninushino-Mikoto, un dieu de l'amour et des « bonnes rencontres ». A l'intérieur du Jishu-jinja se trouvent deux « pierres d'amour » placées à dix-huit mètres l'une de l'autre, distance que les visiteurs célibataires essaient de franchir les yeux fermés. L'accomplissement de ce trajet est vu comme un présage de futur rencontre amoureuse. On peut être aidé pour réaliser le parcours, mais alors cela signifie qu'un intermédiaire sera nécessaire pour rencontrer l'âme sœur.
milliseconds timerID = setTimeout("showBanner()", speed) } } function getString() { // set variable to true (it will stay true unless proven otherwise) var full = true // set variable to false if a free space is found in string (a not-displayed char) for (var j = 0; j < state.length; ++j) { // if character at index j of current message has not been placed in displayed string if (state.charAt(j) == 0) full = false } // return true immediately if no space found (avoid infinitive loop later) if (full) return true // search for random until free space found (braoken up via break statement) while (1) { // a random number (between 0 and state.length - 1 == message.length - 1) var num = getRandom(ar[message].length) // if free space found break infinitive loop if (state.charAt(num) == "0") break } // replace the 0 character with 1 character at place found state = state.substring(0, num) + "1" + state.substring(num + 1, state.length) // return false because the string was not full (free space was found) return false } function getRandom(max) { // create instance of current date var now = new Date() // create a random number (good generator) var num = now.getTime() * now.getSeconds() * Math.random() // cut random number to value between 0 and max - 1, inclusive return num % max } startBanner() // -->