Wednesday, November 14, 2007




Loy Krathong (or Loi Kratong, Thai ลอยกระทง) is a festival celebrated annually throughout Thailand. It is held on the full moon of the 12th month in the traditional Thai lunar calendar, in the western calendar this usually falls into November.
“Loi” means “to float”. “Krathong” is a raft about a handspan in diameter traditionally made from a section of banana tree trunk (although modern-day versions often use styrofoam), decorated with elaborately-folded banana leaves, flowers, candles, incense sticks etc. During the night of the full moon, many people will release a small raft like this on a river. Governmental offices, corporations and other organizations also build much bigger and more elaborate rafts, and these are often judged in contests. In addition, fireworks and beauty contests take place during the festival.

Letting go of Loy Krathong rafts
The festival probably originated in India as a Hindu festival similar to Divali as thanksgiving to the deity of the Ganges with floating lanterns for giving life throughout the year.
According to the writings of H.M. King Rama IV in 1863, the originally Brahmanical festival was adapted by Buddhists in Thailand as a ceremony to honour the Lord Buddha. Apart from venerating the Buddha with light (the candle on the raft), the act of floating away the candle raft is symbolic of letting go of all one's grudges, anger and defilements, so that one can start life afresh on a better foot. People will also cut their fingernails and hair and add them to the raft as a symbol of letting go of the bad parts of oneself. Many Thai believe that floating a krathong will create good luck, and they do it to honor and thank the Goddess of Water, Phra Mae Khongkha.
The beauty contests that accompany the festival are known as "Noppamas Queen Contests". According to legend, Noppamas was a consort of the Sukothai king Loethai (14th century) and she was the first to float decorated krathongs.
The Thai tradition of Loy Kratong started off in Sukhothai, but is now celebrated throughout Thailand, with the festivities in Chiang Mai and Ayutthaya being particularly well known.

Friday, November 09, 2007


Samouraï


La classe de guerriers professionnels du Japon, constituée d'archers montés sur des étalons, trouve son origine dans la volonté de l'empereur Kammu de conquérir des terres des Aïnus à la fin de la période Nara.
Jusque là, le
Japon disposait d'une armée basée sur la conscription, inspirée du modèle chinois. Les hommes âgés de vingt à trente ans étaient conscrits, répartis en autant de gunki (corps de mille soldats et officiers) qu'il y avait de provinces et attachés au service du kokushi (gouverneur de la province).
Ce système se révéla totalement inefficace pour lutter contre les « barbares » Aïnus, redoutables cavaliers. L'empereur décida en
792 de le dissoudre pour mettre en place un nouveau système appelé kondeisei. Le Kondesei avait l'avantage de réduire le poids du service militaire chez les paysans (sur qui reposait l'économie) puisqu'il était constitué de jeunes cavaliers-archers issus de milieux plus aisés. Cette milice, formée de 3964 hommes commença à tomber en désuétude au Xe siècle[1], mais on ne peut affirmer qu'elle soit à l'origine des premiers samouraïs, apparus à cette époque.
Mitsuo Kure, dans son livre Samouraïs (p. 7) cite plusieurs autres origines possibles pour les samouraïs :
les réfugiés
coréens qui s'étaient établis dans le Kantō aux VIe et VIIe siècles, après la chute de la colonie japonaise de Minama (562) et la fin de la dynastie Paekche (660). Ces réfugiés, traditionnellement éleveurs de chevaux, pourraient être les ancêtres des mono no fu, mais certains éléments tendent à rejeter cette hypothèse : comme leurs ancêtres continentaux, ces hommes montaient des hongres et non des étalons, et utilisaient des arcs petits et courbés, comme les nomades d'Asie, très loin des grands arcs japonais.
les
kugutsu, des nomades qui parcouraient le Japon en vivant de spectacles de marionnettes et d'acrobaties, eux aussi réputés grands cavaliers-archers. Il est toutefois impossible de dire s'ils utilisaient des grands arcs.
les contacts avec les
Emishi, durant les combats contre eux mais aussi au cours d'activités commerciales ou en les employant comme mercenaires pour protéger Kyūshū de tentatives d'invasions coréennes ou chinoises, ont pu inspirer à la cour impériale de Kyōto l'idée de créer une cavalerie, jusqu'ici totalement absente de l'histoire militaire du Japon.
Enfin, Mitsuo Kure énonce une dernière hypothèse selon laquelle les samouraïs seraient à l'origine des gardes du palais impérial au début du
Xe siècle, se basant sur les premiers documents mentionnant le mot samurai (ou plutôt saburai, « en service », qui se déforma plus tard en samurai). S'il rejette rapidement cette hypothèse, arguant que les meilleurs élevages de chevaux se trouvaient dans le Kantō et le Tōhoku et que les armures o-yoroi furent mises au point sur le champ de bataille et non dans la paix de la cour, cette hypothèse est en revanche la seule origine citée par Stephen Turnbull dans son Samurai Sourcebook (p. 8).
Le Dr Turnbull indique à leur sujet qu'ils passèrent rapidement du service impérial à celui des riches propriétaires terriens des provinces, qui devaient lutter contre les emishi, les bandits et les propriétaires terriens rivaux. Il précise aussi que ces premiers clans de samouraïs descendaient d'origines modestes mais se plaçaient sous l'égide de descendants de lignées impériales mineures, partis chercher fortune dans les contrées sauvages. Les deux plus puissants clans de samouraïs de la fin de l'
ère Heian, les clans Taira et Minamoto découlent de cette tradition, descendant respectivement des empereurs Kammu et Seiwa.

Sunday, November 04, 2007


Muay thaï


Le Sillapa Muay Thaï, Muay Thaï (thaï มวยไทย), parfois appelé Boxe thaïlandaise est un art martial créé pour les militaires au XVIe siècle. Cet art permit aux Thaïlandais de repousser les Birmans lors d'invasions[réf. nécessaire].

Aujourd'hui, la boxe thaïlandaise est pratiquée dans le monde entier par des personnes de tous âges, et de tous niveaux. Cet art, dit dangereux, est tiré du Krabi krabong qui, tout comme la boxe thaïlandaise, nécessite des aptitudes physiques telles que la souplesse, les réflexes, la puissance et la force, mais aussi des aptitudes mentales comme le respect.
La pratique de la boxe thaïlandaise est considérée comme sport national en
Thaïlande. De nombreux petits clubs d'entraînement (appelés camps) parsèment le pays et accueillent les jeunes garçons à partir de sept ans. Les combats importants sont régulièrement retransmis tous les samedis et dimanches par les chaînes de télévision.
Les deux stadiums les plus connus de Bangkok, où se déroulent les combats sont le
Lumpinee et le Rajadamnoen. Ces endroits sont connus dans le monde entier et sont considérés comme la référence en Muay Thaï.
Le Lumpinee est situé sur Rama IV Road, proche du Lumpinee park et le Rajadamnoen est situé sur Rajadamnoen Nok Road en face du quartier général de l'armée royale Thailandaise.
Le combat se déroule en 5 rounds de trois minutes. Il est précédé par une danse rituelle : le
Ram Muay durant laquelle le Nak Muay (boxeur) porte le Mongkon (c'est une bande de tissu qu'il met autour de la tête pour manifester le respect à son entraineur et pour optimiser sa perception mentale), qui est composé de gestes codifiés exécutés par les deux adversaires individuellement et qui sont propres à chaque clubs. Un petit orchestre composé d'un tambour, d'une cymbale et d'une flûte nasillarde rythme les rounds. Les coups permis sont : coups de poing, de coude, de genou, de pied. Les corps à corps peuvent durer et sont l'occasion de coups de genou, ils peuvent se terminer par la mise à terre de l'adversaire ou être interrompus par l'arbitre.
L'usage des coups de coude est rare lors de la plupart des combats de boxe thaïlandaise hors
Thaïlande.
Les coups de pieds les plus utilisés sont les coups de
tibia circulaires, qui sont le « coup de base » du boxeur thaïlandais.
Les télévisions du monde entier retransmettent les grands combats de Muay Thaï particulièrement le spectaculaire
K-1 au Japon avec ses 20 000 spectateurs et ses bourses de plus de 200 000$.
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